Photographiez le lac Supérieur dans toute sa puissance.
Par Carol Caputo
Carol Caputo is a Staff Writer for Algoma Country.
5 septembre 2023
The month of November breathes emotion into Lake Superior each and every year. For those of us lucky enough to be here to experience this phenomenon, it marks the time when fall is coming to an end, and winter wishes to encase the power of the lake and the lake fights this change of season with all the power she can muster. The "Gales of November" is one of the great, iconic Canadian experiences, and every year, adventurous storm chasers make the trip to the quiet autumn beaches of Lake Superior to see a wild parade of some of the most glorious meteorology that nature has to offer.
These November storms—given the name "gales" through the lyrics of a song written and sung by Gordon Lightfoot—occur when cold, dry air from Northern Canada converges over the Lakes with warm, moist air from the Gulf of Mexico. All this unsettled air is then given one more stir by the warm summer water of the Lakes. The result is one of nature's most unpredictable storm nurseries. Wind speeds easily reach 50 mph with gusts that have been known to exceed 100 mph. There's a reason that some people still call these storms "witches." And yet, seen from the shoreline and treated with respect, the Gales of November is an experience no one should pass up.
Capturing A Storm
Every November, photographers flock to this majestic coastline hoping to capture with the click of their shutter the immense power of every crashing wave. World-renowned photographer, Rob Stimpson, was the first to gather a group at one of the most iconic areas of the Lake Superior coastline to teach landscape digital photography to both the amateur and professional, during the Gales.
The course was designed to give participants the opportunity to not only learn first-hand from an award-winning photographer but also be witness to the fiery nature of the largest freshwater lake in the world.
We are proud to present a gallery of five of Rob's favourite photos of the Gales of November:
The colours of Lake Superior's wind-whipped waves.
Driftwood beach captures the essence of a classic Canadian wilderness scene - raw and untamed.
A long exposure captures the waves and the soft morning light of the mouth of the Michipicoten River. The warning beacon keeps sailors aware of rocks close to the channel entrance to the river.
Dramatic late afternoon light fills the sky as waves crash into an island on Dore Bay
Witness the gales of November
Algoma Country is home to some of the most scenic views around the Big Lake between Sault Ste. Marie, Ontario and Wawa, Ontario and much of this picturesque coastline are Provincial Park areas, which allows tourists to truly see, feel and touch this beautiful natural phenomenon. While most tourists will have left the region by this time of year, the storm chasers, who dream of capturing the lake in her most wrathful state, know the secret of the majesty of the Gales of November.
Fall Gales Photography Workshop
October 16 - 19, 2022 Hosted By Andrew McLachlan
The workshop is designed for intermediate to advanced photographers. It's about pushing your range of experience.
Andrew McLachlan is a freelance photographer/writer from Ontario, Canada. Learn more: www.andrewmclachlan.ca
Chaque année, c’est comme si octobre et novembre insufflaient de l’émotion vive dans le lac Supérieur. Le phénomène a lieu l’automne, comme si l’hiver cherchait à prendre le dessus sur le lac, à étouffer sa puissance… et le lac ne se laisse pas faire! En anglais, on appelle cette période «Gales of November», soit les grands vents de novembre.
L’expérience est typiquement canadienne, elle est grandiose et attire, d’une année à l’autre, des aventuriers en quête de tempêtes qui descendent sur les plages désertées du lac Supérieur afin d’être témoins d’une puissante démonstration de la vivacité de dame Nature.
Le surnom de ces tempêtes vient d’une chanson de l’auteur-compositeur-interprète canadien Gordon Lightfoot, qui rappelle l’histoire du naufrage catastrophique du Edmund Fitzgerald. Elles surviennent à la rencontre d’un front froid et sec du Nord canadien avec l’air chaud et humide du golfe du Mexique, sur un fond d’eaux chaudes estivales des Grands Lacs. Le résultat : un nid à tempêtes parmi les plus imprévisibles de la nature. Les vents atteignent facilement 80 km/h, avec des rafales pouvant dépasser les 160 km/h. Certaines personnes qualifient ces tempêtes de sorcières. Du rivage, si l’on respecte la force de la nature, les grands vents de l’automne sont une expérience à vivre absolument!
Photographier les tempêtes
Tous les mois d’octobre, les photographes se rendent sur les côtes majestueuses du lac Supérieur afin de saisir la toute-puissance de chacune des vagues qui bat le rivage. Pendant ces tempêtes, un photographe professionnel forme un groupe et l’amène dans un des lieux les plus visuellement saisissants des rives du lac Supérieur et offre un cours de photographie numérique aux amateurs et aux professionnels. Grâce à ce cours, les participants ont le privilège d’avoir comme professeur un photographe réputé et primé, mais aussi d’être témoins de la force du plus grand lac d’eau douce au monde.
Voici cinq des photos favorites de Rob Stimpson, qui a offert l’atelier «Gales of November» de 1975 à 2015. C’est maintenant devenu les grands vents... fin octobre!
Un photographe brave des vents de 50 nœuds afin de saisir la photo souhaitée, lors de l’atelier.
Les couleurs des vagues du lac Supérieur, sculptées par le vent.
Une plage avec du bois flotté, une image classique de la nature canadienne, à l’état brut.
Une longue exposition a saisi les vagues et la douce lumière matinale, à l’embouchure de la rivière Michipicoten. La balise lumineuse indique aux navigateurs que des rochers se trouvent près du chenal qui mène à la rivière.
Une lumière d’après-midi spectaculaire qui inonde le ciel, pendant que les vagues se brisent sur l’île, dans la baie Doré.
Pour le voir par vous-même
La région d’Algoma présente certaines des vues spectaculaires des Grands Lacs, entre Sault Sainte-Marie et Wawa, en Ontario. Le littoral est presque entièrement protégé par des parcs provinciaux, ce qui permet aux touristes de réellement voir, sentir et ressentir ce phénomène naturel de toute beauté. Bien que la majorité des touristes aient quitté la région, en ce temps de l’année, les chasseurs de tempêtes qui rêvent de saisir le lac dans sa plus grande furie connaissent la majesté des grands vents d’automne.
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À propos de Carol Caputo
I am a staff writer for Algoma Country. My team markets the most beautiful area of Northern Ontario! We represent 28,000 square miles of pure outdoor paradise! Our offerings include urban, nature and outdoor tourism, fishing and hunting as well as fantastic motorcycle touring routes. And yes, I have the best job in the world! For more information on Algoma Country visit our website at www.algomacountry.com